1. La formation radiesthésie à Bordeaux
Toutes les cultures et religions ont désigné un ou des êtres maléfiques pour l’homme. Citons par exemple Bhût en Inde, Cötgör en Mongolie, Meikhsa en Birmanie
III – L’âge d’or de l’exorcisme : le Moyen-âge de la formation radiesthésie à Bordeaux.
A – La gloire de l’exorcisme
La représentation du diable dans les églises
2. La formation exorcisme à Bordeaux
Le Moyen-Âge est une période très faste pour l’exorcisme avec les premières représentations qui sont faites de Satan et que l’on retrouve dans (presque) toutes les églises et cathédrales. Les religieux trouvent enfin le moyen de le représenter (en chair et en os !) gravé dans la pierre. Ils montrent ainsi l’influence qu’il a sur nos vies. Il est toujours mis en hauteur en train de contempler les proies qui se présentent à lui !
La démonologie se clarifie avec la formation exorcisme à Bordeaux.
Divers mouvements intellectuels et contestataires de la religion chrétienne comme le catharisme qui remet en avant la notion de bien et mal a remis au goût du jour les pratiques d’exorcisme pour lutter contre les hérétiques. Avec la fin du Moyen-Âge, nous sommes également dans une période faste de la chasse aux sorcières qui se trouvent attribuées des caractéristiques du diable. Saint Thomas d’Aquin (1225-1274), qui a travaillé sur le sujet, a permis de clarifier le travail du démonologue.
3. La formation Blessures de l’âme à Bordeaux
B – Quelques grandes figures de possession démoniaque
Voici quelques grandes histoires de l’exorcisme dans cette période de la fin du Moyen-Âge.
Nicole Aubry et la formation des blessures de l’âme à Bordeaux.
Nicole Aubry, jeune femme de 15 ou 16 ans mariée à un tailleur, vit à Vervins (près de Laon) et se rend sur la tombe de son grand père ce 03 novembre 1565. Ce dernier, mort sans avoir eu le temps de se confesser, lui apparaît pendant son recueillement et lui demande que l’on intercède pour lui car son âme serait encore bloquée dans le purgatoire.
Si la jeune femme répond à cette demande en allant voir le curé de la paroisse (Claude Lautrichet), les apparitions se poursuivent et elle devient très rapidement méconnaissable. Elle tombe malade, s’enferme et commence à détester la religion.
4. La formation magnétisme à Bordeaux
Les symptômes sont alors de plus en plus impressionnants : son corps devient raide et froid, elle convulse, se met en transe, injurie…
C’est un religieux jacobin, Pierre Delamotte, qui se charge d’examiner son cas. Il détermine qu’elle est possédée par le diable et plus particulièrement par Belzébuth. Malgré la pratique de son rite, rien n’y fait et la jeune femme se retrouve non seulement avec l’un des sept princes de l’enfer mais également accompagné de 29 autres démons. Les quelques périodes de répit ne lui laissent pas le temps de récupérer.
La légende indique qu’elle « ouvrait la gueule de telle façon que ceux qui se trouvaient auprès d’elle lui voyaient le fond de l’estomac » sur la formation magnétisme à Bordeaux. Trois mois se passent avec d’innombrables séances d’exorcisme très éprouvants pour la jeune femme (pas moins de dix personnes étaient nécessaires pour la maintenir attachée).
a. La formation alchimie à Bordeaux
L’évêque de Laon décide, devant l’incapacité qu’il a de la soulager, de la transporter dans sa cathédrale. Attachée au milieu de l’édifice, ce ne sont pas moins de 10.000 personnes qui assistent à la cérémonie le 08 février 1566. Le combat se solde par le départ de Satan « dans un coup de tonnerre accompagné d’une fumée inexplicable ».
Les possédées de Loudun et la formation alchimie à Bordeaux.
Nous sommes à Loudun, dans la Vienne en septembre 1632. Trois religieuses, du couvent des Ursulines, se mettent à avoir des hallucinations de personnes mortes ou de situations érotiques. Ces quelques maux se transforment rapidement en des convulsions et des insultes envers Dieu. Le mal ne s’arrête pas à ces trois sœurs car rapidement ce ne sont pas moins de onze autres membres de la congrégation qui sont touchées.
b. Le voyage initiatique à Bordeaux
Elles se mettent à courir nu, à grimper aux arbres… Aucun doute n’est possible, ces actes sont le fruit d’une possession démoniaque. Le personnage central qui relie toutes ces visions et tous ces actes est Urbain Grandier, le prêtre de la ville. Il s’agit d’un personnage atypique qui va finir sur le bûcher. Né à Rovère près du Mans, son arrivée à Loudun est plutôt mal perçue pour cet étranger. Et son caractère n’y aide pas : il est hautain, pas diplomate, franc et libertin. On dit même qu’il abuse de certaines femmes dans l’église. Condamné au jeûne, il fait appel et gagne son procès sur la formation magnétisme à Bordeaux.
A la mort du directeur du couvent des Ursulines, il se propose pour prendre la suite, en concurrence avec un curé local. C’est à ce moment que les premières scènes de possession apparaissent et le lien est rapidement fait entre cette volonté de prendre le poste et la situation des sœurs.
5. La formation géobiologie à Bordeaux
En parallèle, Richelieu l’accuse d’avoir écrit l’ouvrage La Cordonnière de la Reine-Mère et le prêtre se retrouve arrêté le 17 décembre 1633. Ne trouvant pas de preuve tangible, il est accusé de sorcellerie et l’on trouve des témoins (pas moins de 60) qui l’auraient vu faire un pacte avec le diable et jeter un sort sur le couvent sur la formation magnétisme à Bordeaux.
Malgré un dossier très maigre et l’arrivée d’une sœur du couvent qui affirme que Grandier est innocent des accusations d’obscénités qu’elles avaient conférées à son encontre, il est mis sur le bûcher le 18 août 1634. Cela n’a pourtant rien changé pour les sœurs à qui il faudra encore trois années pour être totalement libérées du mal.
IV – L’époque moderne : d’une disparition à un renouveau
6. La formation passeur d’âmes à Bordeaux
A – L’église et la perte d’influence sur les pratiques démoniaques
Chose la plus surprenante qui puisse y paraître, l’église, celle qui devrait être au cœur de ce combat des forces du mal (avec l’archange Saint-Michel terrassant le diable présent dans toutes les édifices religieux) est aujourd’hui le maillon faible du dispositif. Les raisons en sont multiples et nous y verrons bien évidemment comme source principale :
La présence du diable dans les plus hautes sphères religieuses. L’idée qui se dégage dans l’église aujourd’hui est de dire que le démon n’existe pas et que les exorcistes doivent être chassés sur la formation magnétisme à Bordeaux ;
Le nombre de prêtres est de moins en moins important. Nous allons dire ici une phrase qui peut choquer mais qui est malheureusement le reflet d’une réalité : le nombre de prêtres qui de plus n’ont plus la foi ;
Le nombre de prêtres pratiquant l’exorcisme est, de ce fait encore plus amoindri. Il s’agit normalement d’une charge qui est donnée par l’archevêque du diocèse à l’un de ses administrés. Malheureusement il se trouve de plus en plus de diocèses dans lesquels aucun prêtre n’accepte cette fonction qui se trouve alors attribuée à des laïcs sur la formation magnétisme à Bordeaux ;
Enfin pour finir sur cet aspect, de plus en plus de prêtres exorcistes considèrent que « presque » tous les cas qui leur sont présentés relèvent non pas de l’attaque du démon mais de cas relevant de l’hôpital psychiatrique (et nous pouvons bien évidemment les rejoindre sur quelques cas).
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